Für Ungeweihte legt' ich ein Schloss mir an den Mund;
Auf! Singe nun, o Sänger: die ew'ge Lust ward kund!
Molla Dschelaleddin Rumi.
De tous les livres à faire, le plus difficile, à mon avis, c'est une traduction.
Lamartine, Souvenirs, impressions, pensées
et paysages pendant un voyage en Orient.
Paris, 1835. Tome 1. p. 123.[1]