.... tant il est vray que le Bien

se trove au-dessoubs du Mal, comme

le sol noble, qui recesle dedens son

cueur des trésors précieulx, gist

au-dessoubs de l'eau trousble et

brouillée ....

(Philippe de Comines-Memoires.)


.... l'art chrétien ne peut soutenir

le pas avec l'art moderne qu'en se

servant des mêmes moyens païens

et coupables et en dissimulant

autant que possible le but pieux

et croyant qu'il se propose ....

(Lettre d'un Jesuite.)[85]

Quelle:
Heinrich Lautensack: Das verstörte Fest. Gesammelte Werke. München 1966, S. 85-86.
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