D'UNE VEILLÉE ...

[134] Ton front mi-couvert d'une nuée de cheveux

(Ils sont blonds et soyeux)

Ton front me dit les combats juvéniles.

Tes lèvres (elles sont muettes) content le drame

Des âmes que Dieu condamne.

Emouvant miroir · tes yeux!

Ne joue pas avec! il est fragile ..

Même quand tu souris (enfin tu t'es endormie)

Ce sourire est mélancolie

Et tu penches un peu ta tête endolorie.


Französische Fassung des Gedichts ›Jahr der Seele‹

Quelle:
George, Stefan: Schlussband, Gesamt-Ausgabe der Werke, Band 18, Berlin 1934, S. 134-135.
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